Nouvelle comparution prévue demain pour l’homme de Gracefield accusé d’agression sexuelle sur un poupon
L’homme de 23 ans accusé d’avoir agressé sexuellement un poupon à Gracefield doit comparaître demain via le palais de justice de Maniwaki.
L’individu qui est détenu à la prison d’Amos, pour sa sécurité, comparaîtra par visioconférence dans le cadre de l’enquête sous liberté pro forma. C’est à ce moment que l’accusé, dont l’identité est protégée par une ordonnance de non-publication, devrait savoir s’il demeurera détenu ou s’il sera libéré sous caution, en attente de la suite des procédures.
L’individu est détenu depuis son arrestation, lui qui a dû se trouver une nouvelle avocate après que l’avocate qui le défendait, Maître Amina Chakibi, ait demandé à ne plus le représenter puisqu’ils ne s’entendaient pas sur la stratégie à adopter dans le dossier. L’accusé sera finalement représenté par Me Gabrielle Gosselin.
L’accusé est visé par deux chefs d’accusation. Les gestes qui lui sont reprochés auraient été commis entre le 1er novembre et le 2 décembre.
S’il est reconnu coupable de l’accusation la plus grave, l’homme de 23 ans est passible d’une peine d’emprisonnement à perpétuité.
