Actualité locale Par Aline Essombe |

Une offensive d’ici la fin du mois pour sauver le pont Gens-de-Terre

Pont Gens de terre
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Un comité d’urgence se rendra jusqu’à Québec du 19 au 21 février, afin de tenter de résoudre le problème du financement du pont Gens-de-Terre.

La Chambre de commerce de Maniwaki et la Vallée-de-la-Gatineau (CCMVG), ainsi que la MRC de la Vallée-de-la-Gatineau (MRCVG), ont mis sur pied un comité d’urgence pour tenter de résoudre le problème que pose la rénovation du pont Gens-de-Terre.

Depuis plusieurs années, et de plus en plus rapidement, la capacité du pont diminue, passant d’une tolérance de 60 tonnes, à 30 tonnes en août 2022, puis à seulement 15 tonnes en 2023, ce qui change les possibilités de financement au ministère des ressources naturelles :

Le comité d’urgence espère convaincre Mathieu Lacombe, ministre responsable de la région de l’Outaouais, mais surtout Maïté Blanchette Vézina, ministre des Ressources naturelles et des Forêts, d’investir dans la reconstruction du pont.

Le coût des travaux est estimé à environ 6 millions 500 000 $, une somme que les commerces locaux doivent couvrir à hauteur de 10 %, soit en investissant 650 000 $. Mais cet investissement ne semble pas convaincre le ministère des Ressources naturelles :

Le comité d’urgence sera formé de Chantal Lamarche, préfète de la MRC de la Vallée-de-la-Gatineau, Mike McConnery, président de la Chambre de commerce de Maniwaki et de la Vallée-de-la-Gatineau, ainsi que de deux représentants des forestières du territoire de la MRC de la Vallée-de-la-Gatineau.

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