Un été réussi pour les camps de jour dans la Vallée-de-la-Gatineau
La période des camps de jour a pris fin dans la région, vendredi dernier, après 7 semaines d’activités.
La Fondation le Terrier qui opère les camps de jour dans les villes de Gracefield et de Maniwaki, dresse un bilan positif de ses activités estivales. Malgré le fait que le recrutement de personnel ne soit pas une mince tâche dans le contexte de la pénurie de main d’œuvre, Claire Lapointe, directrice générale par intérim de la Fondation, explique que son organisation est parvenue à combler l’ensemble des postes :
Encore une fois cette année, les enfants étaient au rendez-vous alors que le camp de Maniwaki a accueilli jusqu’à 135 enfants par jour et jusqu’à 45 enfants à celui de Gracefield.
Rappelons que le Camp de vacances le Terrier au Lac Achigan à Déléage n’a pas ouvert ses portes cette année. L’incapacité à combler tous les postes et des défis financiers justifient la décision de la Fondation. En mai dernier, le président de la Fondation, Paul Montpetit, affirmait que l’organisation tentait de trouver une nouvelle formule afin de mousser les inscriptions qui ont grandement diminuer dans les dernières années.
