Pinces de désincarcération : l’Association des chefs pompiers de la Vallée-de-la-Gatineau se mobilise
C’est maintenant
au tour de l’Association des chefs pompiers de la Vallée-de-la-Gatineau de
s’impliquer dans le dossier de la couverture du territoire de Maniwaki et des
municipalités avoisinantes avec les pinces de désincarcération.
Depuis la
dissolution de l’Association de sauvetage de l’Outaouais, le territoire est
maintenant couvert par la brigade incendie de Grand-Remous. Plusieurs acteurs
dans ce dossier soulignent que cette solution doit être seulement temporaire et
qu’une décision devra être prise rapidement.
C’est du moins
le point de vue de Martin Lafrenière, président de l’Association des chefs
pompiers de la Vallée-de-la-Gatineau et représentant de l’Association des chefs
en sécurité incendie du Québec pour la région :
Ce dernier
affirme également que des sommes d’argent sont présentement disponibles pour
soutenir financièrement les municipalités locales pour défrayer les formations
et l’achat d’équipements. À ce sujet, voici les propos de Martin
Lafrenière :
À travers la
Vallée-de-la-Gatineau, des rencontres sont prévues à l’agenda, cette semaine,
pour discuter du dossier des sauvetages hors routes. Le point des pinces de
désincarcération sera possiblement abordé selon monsieur Lafrenière :
D’après les informations du président de l’Association des chefs pompiers de la Vallée-de-la-Gatineau, 60 % des brigades à travers la province sont maintenant équipé des pinces de désincarcération pour offrir ce service.