Le député de Pontiac estime que l’ACEUM pourrait aider à protéger des emplois en forêts
Les
préoccupations soulevées en Outaouais à l’égard de l’industrie forestière
demeurent en ce début d’année, et ce, malgré les mesures mises en place par
Québec afin d’aider les entreprises œuvrant dans ce domaine à faire face aux
difficultés vécues depuis l’arrêt des opérations de coupes forestières de
l’entreprise Lauzon Planchers de Bois exclusifs et de la fermeture temporaire
de l’usine de cellulose Fortress de Thurso.
Le député fédéral de Pontiac, William Amos, est pleinement conscient de l’impact que peut engendrer un ralentissement des activités forestières dans une région comme l’Outaouais où cette industrie est un élément clé au niveau du développement économique. Il se réjouit d’ailleurs de la signature de l’accord de libre-échange entre le Canada, les États-Unis et le Mexique. Selon lui, les modifications apportées au document permettront de mieux protéger cette industrie et les emplois qui y sont reliés. On écoute, William Amos :
Malgré la ratification de l’Accord de libre-échange, le
conflit du bois d’œuvre persiste entre le Canada et les États-Unis. Comme les
précédents conflits à ce sujet ont été réglés en cours et remportés par le
Canada, le député Amos se dit confiant pour la suite des choses. Cependant, il dit
espérer que le dossier se règle grâce à une solution qui aura été négociée
entre les deux partis d’ici la fin de 2020 :