La première vague de la pandémie n’a pas eu d’effets marqués sur le CALACS Vallée-de-la-Gatineau
Le Centre d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (CALACS) de la Vallée-de-la-Gatineau a tenu son assemblée générale annuelle la semaine dernière.
Selon l’équipe du CALACS, la première vague de la pandémie de covid-19 n’a pas eu de conséquences significatives pour l’organisme.
Parmi les statistiques présentées pour la dernière année, on constate entre autre une baisse des nouvelles demandes avec 29 comparativement à 38 pour 2018-2019. Le CALACS remarque également que la clientèle plus jeune est davantage sensibilisée au principe de la dénonciation, comme le souligne Maude Bélair, intervenante responsable et communautaire au CALACS Vallée-de-la-Gatineau :
Par ailleurs, le CALACS remarque déjà de possibles retombées de la plus récente vague de dénonciations d’agressions et d’harcèlement à caractère sexuel qui s’est déroulé en majorité via les réseaux sociaux.
Très satisfait de sa dernière année au niveau des activités offertes, le CALACS souhaite continuer d’être le plus présent possible pour sa clientèle de la Vallée-de-la-Gatineau malgré la deuxième vague de coronavirus.