Agression sexuelle sur un poupon à Gracefield : la cause de nouveau reportée
L’homme accusé d’avoir agressé sexuellement un poupon à Gracefield a comparu de nouveau par visioconférence, aujourd’hui, au palais de justice de Maniwaki.
L’accusé est toujours détenu à la prison d’Amos. Le dossier a été remis au 14 février, à la demande des procureurs impliqués dans ce dossier, eux qui souhaitent avoir plus de temps pour étudier l’ensemble de la preuve. L’avocat de la couronne a indiqué avoir reçu plusieurs nouvelles informations au dossier, hier. L’homme dans la vingtaine demeurera donc derrière les barreaux jusqu’à sa prochaine comparution prévue le 14 février prochain.
Le dossier est toujours au stade de l’enquête sous-caution pro forma. C’est lorsque cette étape sera complétée que l’individu, dont l’identité est protégée par une ordonnance de non-publication, saura s’il pourra recouvrer sa liberté ou s’il devra demeurer incarcéré en attendant la suite des procédures judiciaires.
Rappelons que c’est une consultation médicale qui a permis de déceler des signes d’agression sexuelle chez le poupon. La Division des crimes majeurs de Gatineau a donc entamé une enquête qui a mené à l’arrestation de l’homme.
S’il est reconnu coupable de l’accusation la plus grave, l’accusé est passible d’une peine d’emprisonnement à perpétuité.