Actualité locale Par Alexis Goyer |

Le dindon sauvage n’est pas un réservoir de maladie au Québec

Wild Turkey close-up portrait with a smooth green background
Wild Turkey close-up portrait with a smooth green background. Bird theme
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Une étude visant à déterminer les pathogènes présents chez les populations de dindons sauvages du Québec vient de se conclure. Aucune des 56 maladies recherchées n’a été détectée chez le dindon sauvage.

L’objectif était de répondre aux inquiétudes de l’Union des producteurs agricoles qui craignait que l’espèce puisse être un vecteur de maladies pour les animaux d’élevage.

Cette étude a été rendue possible grâce à la collaboration des chasseurs qui signalaient l’emplacement de leur prise.

Le biologiste chercheur au ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs du Québec, Maxime Lavoie, en dit davantage :

Il s’agit de la première étude de ce genre pour le dindon sauvage. Cette action a permis de recueillir des données qui serviront de comparatif dans l’avenir et déterminer qu’il n’y a pas de transmission dans un sens comme dans l’autre :

Le dindon sauvage n’est pas une espèce indigène du Québec. Les premiers individus en milieu naturel ont été aperçus en Montérégie en 1976 et la première nidification a été confirmée en 1984 en Estrie.

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